Lettres, Exhortations, Constitutions apostoliques

Lettre apostolique en forme de Motu Proprio sur la défense de la foi, à laquelle ont été ajoutés la formule à utiliser pour la profession de foi, le serment de fidélité et le texte de Paul VI sur le Credo.

Cette lettre apostolique traite de la femme dans sa maternité ou virginité, la femme dans l'Evangile, mais aussi de La Femme (Marie), et de l'Eglise comme Epouse du Christ. Jean-Paul II lui donne un caractère méditatif.

Une invitation à croire que la tradition des Églises orientales constitue une partie intégrante du patrimoine de l'Église du christ et le rappel de la nécessité de la connaître afin de s'en nourrir et de favoriser le processus de l'unité.

L'avenir de l'Église passe par ceux qui consacrent leur vie au Christ à travers une vocation monacale ou contemplative, apostolique, diaconale ou sacerdotale. Il est important de porter le monde par la contemplation.

« J'entends consacrer [la lettre] à l'Eucharistie et, en particulier, à certains aspects du mystère eucharistique et de son incidence sur la vie de qui en est le ministre ». Pour les évèques, les prêtres et les diacres.

« Je confie ce document sur le Saint Rosaire aux pasteurs et aux fidèles du monde entier. L'Année du Saint Rosaire, que nous vivrons ensemble, produira sans aucun doute des fruits bienfaisants, dans le cœur de tous .»  

C'est dans la figure du Bon Samaritain que Jean-Paul II trouve une réponse à la souffrance. Il propose surtout aux chrétiens de porter leur souffrance avec le Christ en Croix qui porte l'insoutenable légèreté de l'homme. 

Jean-Paul II exhorte ses habitants du continent américain à évangéliser sans cesse et les appelle à moins de violence.

Sur la nature théologique et juridique des conférences des évêques.

Un message dans lequel Jean-Paul II invite tous les chrétiens à prier pour le Liban mutilé, ensanglanté, défiguré et martyrisé par des années de guerre.  


Mots clefs : Liban, Guerre, Paix, Chrétiens, Martyrs, Prière.

En résistant aux volontés despotiques du roi Henri VIII, Thomas More a accepté de mourir martyr pour la sauvegarde de l'unité de l'Église catholique et romaine. Ainsi, c'est la liberté de chaque être humain qu'il a défendue.

« Je m'adresse à vous, artistes du monde entier, pour vous confirmer mon estime et pour contribuer à développer à nouveau une coopération plus profitable entre l'art et l'Église. » (Jean-Paul II)